Pour aider vos collaborateurs à gérer efficacement leur concentration, Gaël ALLAIN propose des interventions ludiques et interactives qui permettent d’appréhender les mécanismes cognitifs en jeu et de prendre conscience des limites des capacités de notre cerveau d’Homo Sapiens. Cette approche donne des clés de compréhension et d’action concrètes. Elle permet également à vos collaborateurs de comprendre pourquoi dans un monde ultra-collaboratif et connecté, il est finalement assez normal d’avoir des difficultés à se concentrer !

Au cours de cette intervention sur le thème de l’écologie mentale, nous proposons de découvrir des stratégies robustes de gestion mentale de l’information permettant à votre cerveau de reprendre le contrôle sur ce qui vous arrive, même dans les situations les plus exigeantes !

Rien de magique ici, seulement des techniques vertueuses de traitement des informations qui évitent soigneusement la surcharge mentale et respectent scrupuleusement les limites de notre cerveau (eh oui, notre cerveau a ses limites). Ces techniques sont illustrées par des exemples en milieu professionnel.

Quel que soit le format (conférence, atelier, animation d’équipe), les interventions débutent par un rappel sur les notions d’écologie mentale et de surcharge mentale puis s’intéressent à la notion de Mémoire de Travail (qui correspond à la puissance de nos processeurs internes) et aux limites physiologiques qui contraignent nos raisonnements et nos actions.

Une attention particulière est ensuite portée sur la notion de concentration et l’impact des interruptions sur la performance intellectuelle. Enfin trois stratégies de contournement des limites de la Mémoire de Travail, le chuncking, la vision globale et l’automatisation sont ensuite décrites et illustrées à l’aide d’exemples de la vie professionnelle. Ces stratégies sont indépendantes les unes des autres et peuvent être utilisées seules en fonction des situations de surcharge mentale rencontrées par les participants.

Au-delà des apports scientifiques, l’interactivité, l’humour et la bienveillance caractérisent ces interventions particulièrement « déculpabilisantes ».